La psychologie positive est la discipline qui étudie les moyens d’améliorer le bien-être personnel. Fondée par le psychologue américain Martin Seligman au début des années 1990, elle trouve son origine dans l’étude de la qualité de vie.  Voyons de quoi elle traite et quelles sont ses applications.

La psychologie positive

Ces dernières années, les psychologues et les sociologues ont concentré leurs études sur le bien-être personnel, en distinguant deux types de facteurs :

• Les facteurs objectifs, c’est-à-dire la santé physique, les conditions de travail et de vie.
• Les facteurs subjectifs, par exemple la satisfaction personnelle et la perception du bien-être.

La psychologie de la positivité se concentre particulièrement sur les facteurs subjectifs. Ses études ont montré que les personnes qui éprouvent des émotions positives vivent plus longtemps et réussissent mieux dans leurs relations personnelles et leur carrière. Selon le psychologue, nous pouvons en fait intervenir dans la vie quotidienne par des actions simples et apprendre à être heureux. Vous trouverez un coach en psychologie positive à Paris sur ce site. Vous pouvez également appeler le 06 20 32 31 18.

Psychologie traditionnelle et psychologie positiviste

Il existe une différence substantielle entre l’approche traditionnelle et l’approche positiviste de la psychologie. Alors que la première se concentre sur le passé, sur l’analyse du passé d’un individu pour en expliquer les conséquences dans le présent, la psychologie positiviste se tourne vers l’avenir. Selon le père fondateur de cette science, en effet, les gens sont souvent plus attirés par le lendemain qu’ils ne sont influencés par ce qui s’est passé dans leur passé.

La psychologie de la positivité

La psychologie positive étudie l’implication, les relations, la satisfaction, en mettant l’accent sur les qualités positives d’une personne et de l’existence humaine. L’estime et l’image de soi jouent un rôle important.

L’objectif est de minimiser les pensées négatives et les incertitudes qui peuvent surgir dans notre esprit, en ne développant que des pensées optimistes à l’égard de la vie. C’est pourquoi la psychologie positive est associée à des concepts tels que le bonheur, la satisfaction personnelle, le bien-être et la qualité de vie.

L’application de cette science ne se limite pas à la sphère personnelle d’un individu, mais peut également être enseignée et pratiquée

• Dans les familles, pour aider les enfants à grandir.
• Sur le lieu de travail, pour augmenter la productivité et le bien-être.

Optimisme : conseils de la psychologie positive

Selon les psychologues positifs, il existe 3 types d’individus liés au concept d’optimisme.

Les optimistes

Un optimiste est un individu qui considère les défaites comme des situations temporaires et non permanentes. Selon les optimistes, les échecs ne sont pas des conséquences directes de ses propres erreurs, mais sont souvent liés aux circonstances, au hasard, à la malchance ou aux actions d’autres personnes.

Les pessimistes

Pour les pessimistes, en revanche, les échecs sont des situations étroitement liées à plusieurs facteurs :

• Permanentes, c’est-à-dire qu’elles durent longtemps ;
• Omniprésents, ils détruisent donc tous les aspects de la personne ;
• Personnelles, car elles sont la conséquence de ses propres fautes ;
• Lourdes, parce qu’elles amènent à en parler constamment, comme s’il s’agissait d’une fixation.

Les optimistes réalistes

Une situation différente est celle de l’optimiste réaliste. Lorsqu’il s’agit du « verre à moitié plein ou à moitié vide », cette personne ne se bat pas pour prouver que les aspects positifs ont une certaine prévalence sur les autres (ou vice versa). Il pense objectivement que les deux aspects sont vrais, mais sera de toute façon enclin à « remplir le verre », poussé par la confiance et le sentiment d’avoir déjà fait la moitié du chemin.

Comment se mettre à la psychologie positive ? Voici les conseils d’un coach professionnel :